The question : quelle attitude au bois ?
Quelle attitude à adopter en bois avec son jeune chien ?
Contrairement
à la plaine où l'on est en contact permanent avec son chien, la quête
en bois demande une toute autre approche, puisque c'est au son de la
cloche que l'on va pouvoir suivre son auxiliaire. Du mode visuel, on
passe en mode auditif d'où l'importance d'une campane adaptée à la quête
du chien, on parle alors de contact.
En bois, pas question ne serait ce qu'une seconde de perdre le son de
la cloche. Le silence doit correspondre uniquement à une pause d'arrêt
de son chien auquel cas il faut le retrouver pour aller le servir. La
relation de complicité entre le maître et son chien, prend ici toute son
importance dans un milieu où les deux protagonistes doivent se
retrouver sans pour autant connaitre la position de chacun. Pas question
pour l'homme d'aller vers son chien mais plutôt l'inverse, un
automatisme qui se travaille très tôt. A trois mois un chiot reste dans
nos pieds, il fait 5 mètres et se retourne fréquemment pour voir où l'on
se trouve. Quelques mois plus tard avec des moyens physiques plus
importants et la confiance aidant, les retours au pied se raréfient et
l'inquiétude a changé de camp. Pas d’affolement face à cet élan
d'indépendance, il suffit juste d'éviter de le suivre et lui renvoyer à
notre tour ce sentiment d'inquiétude. En dehors des moments où le chien a
rencontré du gibier, ce dernier ne se sentira pas à l'aise tout seul.
Des rappels à la voix trop fréquents et des coups de sifflets
intempestifs ne feront que rassurer notre compagnon et lui ôteront toute
envie de retour.
Partez à contre pied, votre chien part à droite,
engagez vous à gauche, n'hésitez pas non plus à vous lancer dans un jeu
de cache cache derrière un buisson, voire monter sur un arbre pour
provoquer un vent de panique. Au retour du chien vous lui tournez le dos
et dans la plus grande indifférence reprenez votre parcours de marche
ce qui maintiendra un rythme soutenu de quête sans temps mort. Le rappel
à la voix ou bien au sifflet se fera uniquement à la fin, quand on
décide d'interrompre la quête pour raccrocher son chien. Toute la sortie
se sera déroulée dans le plus grand silence juste au son de la campane,
sans la moindre gestuelle pour indiquer une direction.
Si
l'homme devait indiquer à son chien les endroits où se trouve le gibier,
je ne vois pas trop le rôle qu'aurait à tenir celui ci...
à la plaine où l'on est en contact permanent avec son chien, la quête
en bois demande une toute autre approche, puisque c'est au son de la
cloche que l'on va pouvoir suivre son auxiliaire. Du mode visuel, on
passe en mode auditif d'où l'importance d'une campane adaptée à la quête
du chien, on parle alors de contact.
En bois, pas question ne serait ce qu'une seconde de perdre le son de
la cloche. Le silence doit correspondre uniquement à une pause d'arrêt
de son chien auquel cas il faut le retrouver pour aller le servir. La
relation de complicité entre le maître et son chien, prend ici toute son
importance dans un milieu où les deux protagonistes doivent se
retrouver sans pour autant connaitre la position de chacun. Pas question
pour l'homme d'aller vers son chien mais plutôt l'inverse, un
automatisme qui se travaille très tôt. A trois mois un chiot reste dans
nos pieds, il fait 5 mètres et se retourne fréquemment pour voir où l'on
se trouve. Quelques mois plus tard avec des moyens physiques plus
importants et la confiance aidant, les retours au pied se raréfient et
l'inquiétude a changé de camp. Pas d’affolement face à cet élan
d'indépendance, il suffit juste d'éviter de le suivre et lui renvoyer à
notre tour ce sentiment d'inquiétude. En dehors des moments où le chien a
rencontré du gibier, ce dernier ne se sentira pas à l'aise tout seul.
Des rappels à la voix trop fréquents et des coups de sifflets
intempestifs ne feront que rassurer notre compagnon et lui ôteront toute
envie de retour.
Partez à contre pied, votre chien part à droite,
engagez vous à gauche, n'hésitez pas non plus à vous lancer dans un jeu
de cache cache derrière un buisson, voire monter sur un arbre pour
provoquer un vent de panique. Au retour du chien vous lui tournez le dos
et dans la plus grande indifférence reprenez votre parcours de marche
ce qui maintiendra un rythme soutenu de quête sans temps mort. Le rappel
à la voix ou bien au sifflet se fera uniquement à la fin, quand on
décide d'interrompre la quête pour raccrocher son chien. Toute la sortie
se sera déroulée dans le plus grand silence juste au son de la campane,
sans la moindre gestuelle pour indiquer une direction.
Si
l'homme devait indiquer à son chien les endroits où se trouve le gibier,
je ne vois pas trop le rôle qu'aurait à tenir celui ci...